Dans sa réponse, Nicolas Schmit explique que le gouvernement n’a jusqu’à présent pas commandité d’études particulières sur le phénomène du "burn-out". Il explique qu’une étude générale sur le bien-être au travail a été réalisée par la Chambre des salariés avec TNS-ILRES. Celle-ci révélé que 20% des interviewés disent être confrontés à des sensations de "burn-out". Quant aux secteurs d’activités qui sont le plus touchés, Nicolas Schmit précise que 38% proviennent de l’enseignement, 24% du secteur social et de la santé et 24% du secteur du nettoyage et du gardiennage.
Nicolas Schmit précise, par la suite, que ces résultats sont corroborés par la 5e enquête européenne sur les conditions de travail effectués par la Fondation européenne pour l’amélioration de conditions de vie et de travail de Dublin.
De nombreuses initiatives contribuant à expliquer les différents sujets liés au bien être au travail
Nicolas Schmit, qui constate que les programme d’information sur le phénomène du "burn-out" sont plutôt rares, attire l’attention sur les nombreuses initiatives dans le domaine du stress, du harcèlement moral et du bien être au travail qui existent au niveau des chambres professionnelles.
Nicolas Schmit rappelle finalement que toute action future éventuelle du gouvernement serait, le cas échéant, organisée en collaboration avec le ministère de la Santé.